lunes, 30 de marzo de 2009

martes, 24 de marzo de 2009

Les animaux intelligents Animales inteligentes
(extrait) (extracto)



A la création du monde, les animaux n'étaient pas du tout intelligents. Tras la creación del mundo, los animales no son muy inteligentes. Ils se promenaient paisiblement dans les forêts et les chasseurs les tuaient avec facilité. Le jour vint, cependant, où la Terre ne put supporter plus longtemps de voir ces stupides animaux se faire tuer de cette façon et elle demanda à son messager de leur apporter un sac plein d'intelligence... Caminaron en paz en los bosques y los cazadores matan con facilidad. El día llegó, sin embargo, que la Tierra ya no podía soportar ver a esos estúpidos animales muertos de esta manera y ella le pidió a su mensajero para que bolsa llena de inteligencia ...



Los dos hermanos
(extrait) (extracto)



Il était une fois un pauvre homme qui avait deux fils. Había una vez un pobre hombre que tenía dos hijos. Il était si pauvre qu'il n'arrivait plus à les nourrir, de sorte qu'un jour il leur dit : Fue tan pobre que ya no puede alimentarlos, por lo que un día él les dijo:

" Mes fils, vous êtes grands à présent, et comme je n'ai pas les moyens de vous entretenir, il faut partir de votre côté et vous débrouiller seuls." "Mi hijo, que ahora son grandes y yo no puede permitirse el lujo de mantener, se debe a su lado y usted solo".

Ayant ainsi parlé, il leur donna à chacun douze quignons de pain de la taille d'un poing et un morceau de viande et les garçons partirent... Habiendo hablado así, se les dio a cada uno de doce Quignon pan del tamaño de un puño y un pedazo de carne y dejar a los chicos ...

Después de caminar un corto período de tiempo, el anciano dijo a su hermano:

"Viens, reposons-nous un instant et mangeons un morceau. Nous mangerons ta nourriture en premier, ensuite la mienne. tu es plus petit et plus faible et tu seras vite fatigué si tu dois porter toute cette nourriture." "Vamos, por un momento de descanso y comer un pedazo. Comemos alimentos primero, luego el mío. Eres más pequeños y más débiles y pronto se le cansado, si tiene que llevar toda esta comida."

Ils mangèrent donc la part du plus jeune et au bout de quelques jours ils avaient mangé tout son pain et toute sa viande. Se comieron la mayor parte de jóvenes y después de unos días todos los que habían comido el pan y la carne. Alors, le plus jeune, lorsqu'il eut faim, se tourna vers l'aîné : Por lo tanto, el más joven, cuando tenía hambre, se dirigió a los ancianos:

"Donne-moi un peu de ton pain et de ta viande. Nous avons mangé toute ma part." "Dame un poco de su pan y su carne. Comimos mi parte".

"Jamais de la vie. Je ne te donnerai rien," répondit le frère aîné. "No puede ser. Yo te daré nada", respondió el hermano mayor.

"Mais, tu m'avais promis que nous mangerions tous les deux ta nourriture après avoir mangé la mienne, " dit le jeune frère d'un air surpris. "Pero usted me prometió que tanto comer su comida después de comer mi propio", dijo el hermano menor con un aire de sorpresa.



A suivre... A continuación ...



Comment Ntotoatsana fut gardée prisonnière ¿Cómo se mantuvo preso Ntotoatsana
(extrait) (extracto)



Il était une fois un chef de tribu qui avait une ravissante fille nommée Ntotoatsana. Había una vez un jefe tribal que había una hermosa niña llamada Ntotoatsana. Il avait également un petit garçon, mais aucun autre enfant. También había un niño, pero no hay otro niño. Et parce qu'il n'avait pas d'autre enfant, c'était Ntotoatsana qui faisait paître le bétail. Y porque no tenía otro niño se Ntotoatsana que fue el pastoreo de ganado.

Un jour où elle le faisait brouter à une certaine distance du village, il y eut un fort coup de vent qui s'empara de la fille, l'emportant loin, loin, jusqu'au pays où vivait la tribu des Ma-Telebes... Un día cuando era el pastoreo a cierta distancia de la aldea, había una fuerte ráfaga de viento que tomó a la niña, golpeando lejos, vivía en el país donde la tribu de Ma-Telebit. ..




La jeune fille qui venait de l'oeuf d'autruche La chica que vino desde el huevo de avestruz
(extrait) (extracto)

Sétételané était un homme très pauvre. Sétételané era un hombre muy pobre. Si pauvre qu'il n'avait rien au monde excepté la hutte en terre battue où il vivait. Tan pobre que no tenía nada en el mundo, a excepción de la arcilla cabaña donde vivía. Il chassait les rats des champs et avec leur peau se faisait des vêtements. Se cazan ratas en los campos y su piel era la ropa. Et bien sûr, il n'avait pas de femme. Y, por supuesto, no tenía esposa. Quelle est la femme qui aurait voulu de lui, pauvre mendiant. ¿Cuál es la mujer que podría haber querido de él, pobre mendigo. Et il n'avait même pas un boeuf pour l'acheter... Y ni siquiera tienen un sector de la carne a comprar ...





Maii et Kofi Maii y Kofi
(extrait) (extracto)


Il était une fois un chef de tribu très puissant qui avait une fille nommée Maii. Había una vez un poderoso líder de una tribu que tenía una hija llamada Maii. Personne au monde n'était aussi belle qu'elle et son père l'aimait tellement qu'il ne pouvait supporter l'idée de la perdre... Nadie en el mundo es tan hermoso y que amaba a su padre para que él no podía soportar la idea de perderlo ... ...
Le père de Maii se fit donc faire deux sabre tranchants, si tranchants qu'ils pouvaient couper une mèche de cheveux flottant dans les airs. Maii el padre, por tanto, se convirtió en arma de doble filo, por lo fuerte que podría cortar un mechón de pelo flotando en el aire. Alors il fit savoir que la main de sa fille serait accordée à celui qui supporterait trois coups donnés sur le cou avec ces sabres. Luego le dijo que la mano de su hija se dará a aquellas que tienen tres golpes en el cuello con la espada.

La fille du chef était courtisée par beaucoup de jeunes gens beaux, nobles et vigoureux, mais aucun n'avait le courage de se soumettre à une épreuve aussi difficile. La hija del jefe fue cortejada por muchos jóvenes son hermosas, nobles y fuertes, pero ninguno tuvo el valor de someterse a una prueba tan difícil. Et ceux qui s'y soumettaient, se retrouvaient avec une tête en moins sans plus de cérémonies... Y los que presentaron ellos, se encontraron con una cabeza en lo más mínimo, sin más preámbulos ...

Les histoires sur ce chef cruel et sa ravissante fille se répandirent bientôt très loin et parvinrent aux oreilles de Kofi, fils d'un autre chef de tribu très puissant, dans un pays lointain. Las historias sobre este cruel y su bella hija pronto se extendieron a lo largo y llegó a los oídos de Kofi, el hijo de otro dirigente de una poderosa tribu en un país lejano. Après avoir entendu parler de la merveilleuse Maii, il ne put ni manger, ni dormir et ne s'intéressa plus à rien si ce n'est à la façon de gagner la main de cette belle jeune fille. Habiendo oído hablar de la maravillosa Maii podía ni comer ni dormir y había perdido el interés en cualquier cosa excepto la forma de ganar la mano de esta hermosa niña. Finalement il ordonna à ses serviteurs de préparer des bijoux précieux et des tissus de prix pour les offir à la fille du chef et il partit pour ce long voyage. Por último, ordenó a sus funcionarios para preparar las joyas y telas preciosas de precios Offir a la hija de la cabeza y la izquierda para el largo viaje.

Lorsque Kofi arriva au village du cruel et puissant chef il rencontra par hasard Maii et ses compagnes qui descendaient se baigner à la rivière. Kofi cuando llegó a la aldea de la cruel y poderoso líder se reunió por casualidad Maii y sus compañeros a bañarse en el río.

Abandonnant leurs vêtement sur la berge, elles se glissèrent dans l'eau l'eau froide. Dejando su ropa en el banco, que glissèrent en el agua de agua fría. Kofi en les voyant faire fut tellement confondu par la beauté de la fille du chef qu'il décida de se soumettre à la cruelle épreuve, dût-il y perdre sa tête. Kofi verlos hacerlo fue confundido por la belleza de la muchacha la cabeza que decidió someterse al calvario cruel, tuvo que perder la cabeza. Mais avant il désirait au moins lui parler. Pero primero que quería al menos hablar con él. Allant à l'endroit où les robes étaient posées sur la berge, il prit la plus belle et la cacha derrière un arbre. Va a los vestidos que se pusieron en tierra, tomó la más bella y se escondió detrás de un árbol.

... ...
Lorsque les jeunes filles sortirent de l'eau, elles remirent toutes leurs vêtements, toutes sauf Maii qui ne trouva pas les siens. Cuando las chicas salieron del agua, que dio toda su ropa, todos excepto Maii que no es suyo. A ce moment Kofi sortit de sa cachette. En este punto, Kofi salió de su escondite.

"Ne sois pas fâchée contre moi pour avoir caché ta robe," dit-il. "No enojado contra mí para ocultar tu vestido", dijo. "Je suis venu pour essayer de gagner ta main, même si cela signifie pour moi de perdre ma tête, mais je voulais au moins te parler avant." «Yo he venido para tratar de ganar la mano, incluso si esto significa para mí perder mi cabeza, pero al menos quería hablar con usted antes."

Maii aima tout de suite le fils du chef et elle lui dit avec un sourire : Maii inmediatamente el hijo amado de la cabeza y dijo con una sonrisa:

"Ne t'inquiètes pas. Tout ira bien si tu suis mes conseils. Quand tu pencheras la tête et que mon père brandira son sabre, chuchote mon nom trois fois. C'est un charme qui t'aidera toujours." "No te preocupes. Todo estará bien si sigue mi consejo. Al examinar la cabeza y que mi padre levantó su espada, susurra mi nombre tres veces. Se trata de un encanto que le ayudará siempre".

Fort de ce conseil Kofi se présenta au puissant chef et lui demanda la main de sa fille. Con este asesoramiento se presenta a Kofi poderosa cabeza y pidió la mano de su hija.

"Tu es un courageux jeune homme," lui dit le chef. "Usted es un hombre joven valiente", dijo el jefe de. "Si tu survis aux trois coups je te donnerais ma fille avec plaisir. Mais souviens-toi de ceci : j'ai deux sabres et ils sont chacun tellement tranchants qu'ils couperaient un cheveu flottant dans les airs." "Si sobrevives a las tres disparos daré mi hija feliz. Pero recuerde esto: Tengo dos espadas, y todos ellos son tan agudos que un corte de pelo flotando en el aire".

En dépit de cet avertissement Kofi pencha sa tête et attendit... A pesar de esta advertencia, Kofi doblado su cabeza y esperó ... Lechef mientras blandían la espada, susurró rápidamente:

"Maii, Maii, Maii !" "Maii, Maii, Maii!

A peineles mots étaient-ils sortis de sa bouche que son cou devin aussi dur que l'acier et le sabre se cassa en deux. Un peineles fueron las palabras de su boca que su cuello Devin tan duro como el acero de la espada y se partió en dos. Le chef prit le deuxième sabre et se prépara à en asséner un terrible coup en le brandissant encore plus haut. El jefe tomó la segunda espada de empuje y preparado para un golpe terrible en el agitar aún más arriba. Kofi chuchota encore trois fois le nom de Maii et le second sabre se cassa comme le premier. Kofi susurró el nombre tres veces y la segunda espada se rompió Maii que el primero.

" Je vois que tu es destiné à gagner ma fille," dit le chef. "Veo que estás para ganar mi hija", dijo el jefe. "Mais comme je n'ai pas un troisième sabre pour te donner un troisième coup, je vais devoir t'éprouver d'une autre façon. Voici un haricot que tu dois aller planter et s'il porte de beaux haricots bien mûrs pour notre dîner ce soir, alors Maii sera à toi. "Pero no tengo una tercera espada para darle una tercera vez, me han t'éprouver de otra manera. Aquí está una de frijol que debe ir si se planta y frijoles con hermosas maduras para nuestra la cena de esta noche, entonces usted va a Maii.

Kofi prit le haricot et le planta dans le champ. Kofi tomó los frijoles y plantados en el terreno. Mais qui a jamais entendu parler d'un harico germant et portant des fruits en une seule journée ? Pero que nunca escuchó de un harico germinar y dar fruto en un día?
...
"Si Maii était là elle me donnerait certainement un avis," se dit-il. "Si hubiera Maii sin duda me daría una opinión", dijo. Mais Maii était étroitement surveillée par la femme du chef et ne pouvait venir le conseiller. Maii pero fue observado de cerca por la esposa de la cabeza y no podía venir y asesorar.

Néanmoins à peine avait-il prononcé le nom de Maii que le haricot commença à pousser. Sin embargo, apenas se ha pronunciado el nombre de los frijoles Maii comenzó a crecer. En voyant cela, il se souvint de ce qu'elle lui avait dit sur son nom qui était un charme qui le secourerait toujours. Viendo esto, recordó lo que dijo acerca de su nombre que es un encanto para ayudar a él para siempre.

"Maii," dit-il encore, et le haricot grandit et fleurit. "Maii", dijo de nuevo, y el grano aumenta y florece.

"Maii," dit-il une troisième fois, et le haricot porta des fruits. "Maii", dijo una tercera vez y que el grano de fruta. Kofi en cueillit un plein panier et ce fut si long avant que le chef ait fini de les manger pour son dîner, qu'il pouvait à peine se tenir debout. Kofi recogió una cesta llena y fue así mucho antes de que el líder ha terminado de comer su cena, él no podría permanecer.

Ainsi Maii et Kofi se marièrent et il y eut de nombreuses fêtes et réjouissances. Así Maii y Kofi se casaron y hubo muchas celebraciones y festividades.

Après le mariage, le chef dit à Kofi : Después del matrimonio, el jefe dice que Kofi:

"Dans notre pays la coutume veut que la fille reste chez ses parents après le mariage, avec son époux. Si tu le veux, tu peux rester aussi." "En nuestro país la convicción de que la niña permanece con sus padres después del matrimonio, con su marido. Si lo desea, puede reservar también
Kofi fue muy triste al escuchar esto, pero ¿qué podría hacer? Lorsqu'ils furent seuls pourtant, Maii lui dit : Sin embargo, cuando estaban solos, Maii dijo:

"Ne crois pas ce que te dit mon père. Il n'y a pas de telles coutumes dans notre pays. Si tu le veux nous nous enfuirons cette nuit pour ton pays." "No creo lo que dice mi padre. No existe la costumbre en nuestro país. Si desea que nos enfuirons noche para su país."

La nuit tombée et tout le étant aller se coucher, Kofi prépara deux chevaux et Maii alla dans la cuisine où elle prit trois des cinq oeufs placés là dans le panier. Oscuro y todo iba a la cama, Kofi preparación Maii dos caballos y se dirigió a la cocina donde tomó tres de los cinco huevos se colocan en la cesta. Puis ils partirent. Luego se fueron.

Le lendemain matin le chef et sa femme s'éveillèrent et s'aperçurent de leur départ. A la mañana siguiente el jefe y su esposa se despertó y notó su salida.

"Où peuvent-ils être ?" "¿Dónde puede ser?" Dit le chef qui se mit à leur recherche dans tout le village. Dijo el jefe que iniciaron su búsqueda en toda la aldea.

son épouse, par contre, devina ce qui s'était passé et prenant les deux derniers oeufs du panier, elle harnacha un cheval et partit à leur poursuite. su esposa, por contra, de adivinar lo que había sucedido y tomando los dos últimos huevos de la cesta, se aprovecha de un caballo y se fue tras ellos. Elle les retrouva endormis à l'ombre d'un grand arbre. Ella encontró dormido a la sombra de un árbol alto.

"Maii, " dit-elle à sa fille d'une voix sévère, "pourquoi n'as-tu pas apporté d'eau à ta mère, ce matin ? Ne sais-tu pas que c'est le devoir d'une fille ?" "Maii", dice a su hija, en una dura voz, "¿por qué no llevar agua a su madre esta mañana? ¿No sabes que es deber de una hija ? "El deber de una hija se casó con su esposo a seguir", respondió el intrépido Maii, y tomando un huevo en el bolsillo, lo rompió en el suelo, por lo que qu'Assia, la diosa de la tierra, rápidamente laissât salir.

"Non, déesse, non ! Ne la laisse pas partir !" "No, diosa, ¡no! No dejes ir!" Cria sa mère et elle cassa un de ses oeufs sur le sol. Exclamó su madre, y ella rompió uno de sus huevos en el suelo.

Maii cassa un deuxième oeuf, et sa mère fit de même. Maii rompió un segundo huevo, y su madre hizo lo mismo. mais quand Maii donna son dernier oeuf à la déesse, sa mère fut désemparée car elle n'en avait plus. Maii pero cuando dio su último huevo a la diosa, su madre estaba angustiada porque ella lo hizo más. Elle resta immobile et comme transformée en pierre et Maii et Kofi purent partir en paix. Ella permaneció inmóvil y se convirtió en la piedra y Maii y Kofi puede dejar en paz.

C'était un long voyage. Fue un largo viaje. arrivés presque à destination, Kofi dit : casi llegó a su destino, Kofi dice:
"Maii, je ne peux amener ma jeune épouse comme cela au village. Attends-moi ici dans ce palmier près du lac, pendant que j'irai annoncer ton arrivée à mon père et à ses sujets, pour qu'ils te fassent un accueil convenable." "Maii, no puedo traer a mi esposa como a la aldea. Espérame aquí, en esta palmera, cerca del lago, aunque anunciará su llegada a mi padre y sus súbditos, para que usted la bienvenida adecuado ".

Maii acquiesça et Kofi partit pour le village. Maii Kofi asintió y se dirigió a la aldea. A peine s'était-il éloigné qu'une vieille femme vint au bord du lac pour emplir sa cruche d'eau. Apenas se había eliminado una anciana llegó a la orilla del lago para llenar su cántaro de agua. En se penchant, elle vit le beau visage de Maii se reflétant à la surface de l'eau. Mediante la investigación, vio el hermoso rostro de Maii reflejan en la superficie del agua.

Pensando que era su propia refletla anciana dijo:

"Comme je suis belle ! Beaucoup trop belle pour aller chercher de l'eau au lac comme une femme quelconque !" "Como soy hermosa! Con demasiada buena para ir a buscar agua en el lago como cualquier mujer!" Et en disant ces mots elle jeta sa cruche à terre où elle se cassa en une douzaine de morceaux. Y en estas palabras diciendo que su lanzador tiró al suelo en el que se rompió en una docena de piezas. L'un d'eux en sautant lui coupa le pied. Uno de ellos le saltó cortar su pie. La femme s'assit et enveloppa la blessure avec un morceau d'étoffe. La mujer se sentó y se envolvió en la herida con un pedazo de tela. Soulevant sa jambe elle se pencha en arrière pour arrêter le flot de sang. Levantar la pierna doblada de nuevo y dejar el flujo de sangre. Alors elle vit Maii dans l'arbre. Así que ella vive en el árbol Maii.

"Ainsi c'était ton beau visageque j'avais vu dans l'eau," dit la vieille femme avec jalousie. "Así que fue visageque su hermoso que había visto en el agua", dijo la vieja con los celos. "Allons, descends. Je vais peigner tes cheveux puis te marier à mon fils." "¡Vamos, dispara. Me peine su cabello y luego se casan a mi hijo".

Maii répondit : Maii respondió:

"je ne descendrai pas et ne te laisserai pas me peigner les cheveux, car je ne dois pas être touchée par un peigne, sinon ce serait ma fin. Et pour ce qui est de votre fils, je ne l'épouserai pas, car ke suis déjà mariée avec Kofi, le fils du chef." "Yo no descendrai y no deje que me peine su cabello, porque no deben ser tocados por un peine, de lo contrario sería mi fin. Y lo que es su hijo, no se casan porque ke estoy ya casada con Kofi, el hijo del jefe. "
La anciana no contestó, pero sacó su peine, escaló el árbol y pulse en el pelo de Maii. La jeune fille poussa un cri perçant et se transforma soudain en un joli petit oiseau qui tourna et tourna autour du palmier en chantant une lugubre chanson. La chica profirió un grito penetrante, y de repente se convirtió en un ave que muy poco la vuelta y vuelta la palmera en el canto una canción triste.

Peu après Kofi, ses père et frères et tous les villageois arrivèrent pour souhaiter la bienvenue à la belle Maii. Poco después de Kofi, su padre y hermanos y todos los aldeanos llegaron para dar la bienvenida a la hermosa Maii. Kofi grimpa à l'arbre et poussa un cri horrifié en voyant la vieille femme. Kofi subió el árbol y dejar salir un grito de horror que vio a la anciana.

"Tu n'es pas Maii, où est ma merveilleuse Maii ?" "Usted no Maii, ¿dónde está mi Maii maravilloso?"

"Mais je suis Maii," dit la vieille femme en riant. "Pero estoy Maii", dijo la vieja mujer se rió.

Kofi était comble du désespoir, pleurant et criant qu'il s'enfuirait et se tuerait maintenant qu'il avait perdu sa belle Maii. Kofi estaba lleno de desesperación, llorando y gritando que va a matar y escapar, ahora que había perdido su hermoso Maii. Pour l'empêcher d'agir inconsidérément, il fut conduit à la maison de son père. Para impedir que se actúe precipitadamente, fue trasladado a la casa de su padre.

Le lendemain le frère de Kofi alla au lac chercher du vin de palme, précisément au même palmier. Al día siguiente, el hermano de Kofi fue al lago a buscar vino de palma, palma precisamente lo mismo. arrivant sur les lieux, il vit le merveilleux oiseau voletant tristement autour de l'arbre et appelant : llegar al lugar de los hechos, vio el hermoso pájaro aleteando tristemente alrededor del árbol y se pide:

"Kofi ! Kofi ! Kofi !" "Kofi! Kofi! Kofi!"

Muy sorprendido, regresó a casa y le dijo lo que había visto la lamentable Kofi.

Donc, le jour suivant son frère y retourna, attrapa l'oiseau et le ramena à la maison. Así que al día siguiente de su hermano regresó, agarró el pájaro y lo llevan a casa. aussitôt que l'oiseau vit Kofi, il s'anima et ses cris "Kofi ! Kofi ! Kofi !" tan pronto como el pájaro Kofi vidas, se convierte en animado y su "Kofi! Kofi! Kofi!" avaient un son plus joyeux quand il se perchait sur le dos de la main de Kofi. era más alegre cuando se alza sobre el dorso de la mano de Kofi. Kofi caressa gentiment ses plumes. Kofi acarició suavemente sus plumas. Et tout en le caressant il détacha le peigne qui tomba sur le sol et là , près de lui se tint Maii, plus belle encore qu'avant. Y mientras él unfastened las caricias el peine que cayeron sobre el piso y allí, al lado de él estaba Maii, aún más bella que antes.

"Maii ! Maii ! Maii !" "Maii! Maii! Maii!" Cria Kofi, fou de joie et ils s'étreignirent passionnément. Kofi gritó, loco de alegría y pasión s'étreignirent.
Il y eut de grandes réjouissances au village. Hubo gran regocijo en el pueblo. Le vieux chef était si captivé par la beauté de Maii qu'il ne pouvait en détacher ses yeux. El antiguo jefe estaba tan cautivado por la belleza de Maii no podía separar sus ojos. Il lui prit la main et lui demanda qui lui avait jeté le sortilège qui l'avait transformé en oiseau, sur quoi Maii lui raconta toute l'histoire. Él le tomó la mano y le preguntó que había echado el hechizo que había convertido en un pájaro, lo que Maii le dijo toda la historia. Le chef fut très courroucé et ordonna qu'on lui amène toutes les vieilles femmes du village afin que Maii lui désigne celle qui avait fait cette chose abominable. El jefe estaba muy enojado y ordenó que él trae todas las antiguas mujeres de la aldea a fin de que los medios Maii quien ha hecho esta abominación.
"C'est celle-ci," dit Maii en montrant du doigt la plus affreuse de toutes, sur quoi les gens du village lui tombèrent dessus et la battirent jusqu'à ce qu'elle en meurt. "Esto es todo", dijo señalando Maii la más terrible de todas, lo que la gente de la aldea vinieron y golpearon hasta que muere.

Fin Final

El ingenioso hace (1)

El león, un día ordenó a sus súbditos que limpia el pozo profundo que se encontraba en el bosque. Les animaux lui obéirent car ils buvaient tous de son eau, et elle n'était plus ni bonne ni fraîche. Los animales le obedecían porque bebieron de sus aguas, y no es ni bueno ni nuevo.

Chacun d'eux y alla, excepté le lièvre qui se dit : Cada uno de ellos fue, hace la salvedad de que la dijo:

"Ils nettoieront le puits sans mon aide." "Ellos limpiar bien sin mi ayuda."

Lorsque le puits fut à nouveau propre et rempli d'une eau froide et claire, le lion convoqua le lièvre et dit : Cuando el bien se volvió a limpiar y lleno de agua fría y clara, pidió el león y la liebre dijo:
"Comme tu n'as pas voulu aider à nettoyer le puits, dorénavant, tu ne boiras plus de son eau."... "Como usted no quiere ayudar a limpiar el pozo, ahora se puede beber más agua ."...

"Por supuesto, yo no bebo", contestó la liebre, sacudiendo la pierna, "Bebo para encontrar en otros lugares."

Le lion ne le crut pas et fit garder le puits pour en chasser le lièvre au cas où il serait venu. El león no creyeron y así mantenerse en la caza de liebres, si vendría. La première à monter la garde fut la gazelle. El primero fue para proteger la gacela. Elle venait à peine de prendre son poste lorsque le lièvre parut, portant une cruche dans chaque main. Ella acaba de tener su puesto cuando apareció el conejo, con una jarra en cada mano. saluant très bas la gazelle, il dit : bienvenida bajo gacela, dijo:

"Bonjour, ma belle ! "Bonjour, ma belle!

Mais, la gazelle se méfiait. Sin embargo, la desconfianza gacela.

"Va-t'en, et vite !" "Vete, y rápido!" dit-elle... dice ... ... ...
"Je sais que tu es venu pour de l'eau, mais je ne te laisserai pas en prendre. Tu ne passeras pas." "Sé que vinieron a buscar agua, pero yo no le permiten tomar. No".

"Oh ! Mais tu te trompes, ma belle. Je ne suis pas venu pour de l'eau. Je suis désolé de te savoir obligée de rester là à cause de moi, alors je t'ai apporté une cruche de miel." "Oh, pero usted está equivocado, hijo. Yo no vienen al agua. Lamento saber lo que tiene que quedarse allí a causa de mí, entonces he hecho un frasco de miel."

En disant ces mots, il prit une plume, la trempa dans le miel et la mit dans la bouche de la gazelle. Al decir estas palabras, tomó una pluma en el cruce y poner la miel en la boca de la gacela.

"Mmmm... C'est bon !" "Mmmm ... Es bueno!" Dit la gazelle en se léchant les babines. Dijo que la gacela de lamer los labios.

"M'en as-tu vraiment apporté une pleine cruche ?" "M'en que realmente trajo una jarra llena?"

"Une pleine cruche," répondit le lièvre. "Una jarra llena", dijo la liebre. "Mais si tu veux qu'il soit vraiment bon, tu dois me laisser t'attacher les pattes de devant. alors, le miel sera plus doux." "Pero si quiere que sea realmente bueno, usted debe dejar que me t'attacher el frente patas. A continuación, la miel será dulce".

Ainsi la gazelle laissa le lièvre attacher ses pattes de devant. Por lo tanto, la gacela de la izquierda hace atar sus pies. Mais au lieu de lui donner le miel, le lièvre emplit la cruche vide l'eau du puits, puis la remonta et donna une bonne raclée à la gazelle avec son bâton, avant de rentrer chez lui. Pero en lugar de dar miel, hace jarra llena el vacío de los pozos de agua, y luego subió y le dio una buena paliza a la gacela con su bastón, antes de regresar a casa.

Algún tiempo después, el antílope vino para hacer frente a la gacela, pero estaba tan sorprendido por ver a su atado y se detuvo. Elle lui demanda en défaisant les noeuds : Ella le preguntó en derrotar a los nodos:

"Que diable t'est-il arrivé ?" "¿Qué demonios le pasó a usted?"

"Ce qui m'est arrivé ? Le lièvre est venu et il m'a attachée," répondit la gazelle. "Esto que me pasó? El vino y hace que cometió", dijo la gacela.

"Cette petite crevette ?" "Este pequeño camarón?"

"Petite crevette ? C'est ce que tu crois ! Va, il te ligotera aussi." "Little camarón? Eso es lo que piensa! Va, que lo ate también". Et elle parti sur ces mots. Y a partir de estas palabras.

Un peu plus tard, qui apparut ? Un poco más tarde, que apareció? Le lièvre bien sûr, avec de nouveau une cruche dans chaque main. La liebre, por supuesto, de nuevo con una jarra en cada mano.

Saluant très bas, il dit : "Bonjour, ma belle !" Acogiendo con satisfacción muy bajo, dijo: "Hola, nena!"

L'antilope l'interrompit en disant : "Va-t-en et vite ! Je ne suis pas la gazelle. Tu ne m'approcheras pas, moi !" El antílope interrumpió, diciendo: "Vete rápidamente y no soy una gacela. Usted no se acercan a mí!"

"Mais je ne veux pas t'approcher," répondit le lièvre. "Pero no quiero t'approcher", dijo la liebre. "Je t'ai juste apporté une cruche de miel parce que cela me fait de la peine de te savoir obligée de rester là, à cause de moi." "Si se me acaba de hacer un frasco de miel, porque me molesta que aprender a permanecer allí por mí."

En disant ces mots il trempa une plume dans le miel et la mit dans la bouche de l'antilope. Al decir estas palabras se sumergen en una pluma y poner la miel en la boca del antílope.

"Mmmm... C'est bon ça !" "Mmmm ... Es bueno que!" Dit l'antilope en se pourléchant. Dijo en pourléchant antílope.

"Me donneras-tu vraiment la cruche entière ?" "Me dan realmente la jarra?"
"bien sûr. Mais si tu veux que cela soit vraiment bon, tu dois laisser te lier les pattes de devant. Alors le miel sera plus doux." "por supuesto. Pero si quieres que esto sea realmente bueno, usted tiene que le permiten atar las patas delanteras. A continuación, la miel será dulce".

Et l'antilope laissa le lièvre attacher ses pattes de devant. Antílope y dejar que el empate en sus pies hace.

Il la battit ensuite avec son bâton, remplit sa cruche avec l'eau du puits et rentra chez lui. A continuación, la golpearon con palos, su jarra llena con agua del pozo y se fueron a casa.

Cuando el león sabía cómo había engañado a la liebre y el antílope gacela, era muy infeliz, pero la pequeña rana que estaba allí por casualidad, dice:

"Ne sois pas irrité, ô roi des animaux. Laisse-moi monter la garde auprès du puits. Le lièvre ne dupera pas, moi." "No estar enojado, oh rey de los animales. Déjame estar de guardia en los pozos. Dupera El no me hace

¿Tú? Pero matar a una pequeña cosa!" Dit le lion d'un ton dubitatif. Dijo que el león de un tono escéptico. Cependant il y consentit et la grenouille parti. Sin embargo, las partes consintieran en ello y rana.

Lorsqu'elle arriva au puits elle se cacha à l'intérieur et attendit. Cuando llegó en el pozo y se escondió en esperado.

Le lièvre arriva bientôt, regarda autour de lui et ne voyant personne auprès du puits, il s'esclaffa : Pronto llegó la liebre, miró a su alrededor y vio a ninguna persona de bien, él se ríe:

"Bien, bien, bien ! Suis-je intelligent ! Plus intelligent que tous les autres réunis. Personne ne m'ennuiera plus désormais." "Bueno, bueno, bueno! ¿Soy inteligente Más inteligente que cualquier otra reunión. Ya no está aburrido".

Il remplit sa cruche d'eau et sauta dans le puits où il remua la boue du fond pour salir l'eau. Que llena su jarra de agua y se lanzó a la fosa donde se sacudió el barro del fondo para el agua sucia. Mais lorsqu'il voulut en sortir, la grenouille lui attrapa une patte arrière, puis saisit rapidement l'autre avant qu'il ait retrouvé ses esprits. Pero cuando trató de escapar, la rana que capturó una pata trasera, y luego rápidamente se apoderó de la otra antes de que haya recuperado su sentido. Les attachant ensemble avec une corde, elle l'amena au lion. Atar juntos con una cuerda, que condujo a la mayor.

Le lion fut content que quelqu'un eût finalement le dessus avec le lièvre et il convoqua tous les animaux pour décider de la punition qui convenait. El león se congratula de que finalmente alguien tuvo la parte superior con la liebre y convocó a todos los animales para determinar el castigo para ellos. Chacun y allait de sa proposition mais ils étaient incapables de se mettre d'accord. Todo el mundo fue a su propuesta, pero no pudieron llegar a un acuerdo. Ils en étaient là quand le lièvre dit : Ellos estaban allí cuando la liebre ha dicho:

"Il m'importe peu de savoir ce qui m'arrivera. Je sais que c'est la fin pour moi. Mais je vous en supplie, ne la faites pas traîner trop longtemps. Je vais vous faire moi-même une proposition. Mettez-moi sur le dos de la fille du lion et ce sera pour moi la mort." "Es importante saber lo que sucederá. Sé que este es el final para mí. Pero yo te suplico, no hacer demasiado largo arrastre. Haré yo una propuesta. Ponga me en la parte posterior de la hija del león y me dará la muerte. "

Alors les animaux amenèrent la jeune lionne et le mirent sur son dos, mais au moment même il bondit et disparut dans les broussailles. Entonces los animales que el joven león y poner en su espalda, pero al mismo tiempo saltó y desapareció en los arbustos.

Ils coururent tous après lui avec de grands cris, mais en vain, car il fut introuvable. Todos ellos corrieron tras él con gran llanto, pero en vano, ya que se encontró.
Final

Cómo
Ntotoatsana fut gardée Ntotoatsana se mantuvo
prisonnière (1) preso (1)



Il était une fois un chef de tribu qui avait une ravissante fille nommée Ntotoatsana. Había una vez un jefe tribal que había una hermosa niña llamada Ntotoatsana. Il avait également un petit garçon, mais aucun autre enfant. También había un niño, pero no hay otro niño. Et parce qu'il n'avait pas d'autre enfant, c'était Ntotoatsana qui faisait paître le bétail. Y porque no tenía otro niño se Ntotoatsana que fue el pastoreo de ganado. Un jour où elle le faisait brouter à une certaine distance du village, il y eut un fort coup de vent qui s'empara de la fille, l'emportant loin, loin jusqu'au pays où vivait la tribu des Ma-Telebes. Un día cuando era el pastoreo a cierta distancia de la aldea, había una fuerte ráfaga de viento que tomó a la niña, golpeando lejos para el país donde vive la tribu Ma-Telebit. Ces gens-là n'avaient qu'une jambe, un bras, un oeil et une oreille. Estas personas sólo una pierna, un brazo, un ojo y un oído.

Ntotoatsana lloró y lloró al ser tan lejos de casa y entre el pueblo feo y malo, pero no podía hacer nada. Et parce qu'elle était si belle, le fils du chef en fit son épouse. Afin qu'elle ne puisse s'enfuir, il enterra deux cornes magiques de taureau sous le seuil de sa maison pour la surveiller. Y porque era tan bella, el hijo del jefe le dijo a su esposa. Así que no puede escapar, enterró dos cuernos de toro mágico por debajo de su casa a ver. chaque fois que Ntotoatsana voulait s'enfuir, les cornes mugissaient : Ntotoatsana cuando quería escapar de los cuernos mugissaient:

"hoo, hoo, hoo, hoo ! "hoo, hoo, hoo, hoo!
Ntotoatsana s'est échapée Ntotoatsana ha échapée
celle que le vent avait amenée, que el viento había traído,
pour habiter parmi nous, a vivir entre nosotros,
un jour qu'elle avait fait paître una vez que se ha rozado
le troupeau de son père." las ovejas de su padre. "


A l'instant même les hommes de la tribu couraient après la pauvre fille et la ramenaient au fils du chef. Al mismo tiempo, los hombres de la tribu corrió tras la chica y que el hijo del jefe.

Et Ntotoatsanavécut dans cet étrange pays. Ntotoatsanavécut Y en este extraño país. Elle mit au jour deux filles qui devinrent bientôt aussi belle que leur mère. Puso dos chicas en un día que pronto se convirtió en tan hermosa como su madre. Un día las dos hermanas fueron a la así para ir a buscar agua por accidente y se extraña el hombre en los arbustos, los hombres diferentes de Ma-Telebit que tienen sólo una pierna, un brazo, una oreja y un ojo .

Ces hommes avaient deux choses de chaquesorte comme tous les gens de la terre et comme les deuxsoeurs et leur mère. Los hombres tenían dos cosas chaquesorte como todos los pueblos de la tierra y como deuxsoeurs y su madre. C'était le frère de Ntotoatsana accompagné de ses serviteurs et du bélier noir, qui avait vainement cherché sa soeur pendant de nombreuses années. Fue el hermano de Ntotoatsana acompañados por sus sirvientes y negro ovejas, que habían buscado en vano a su hermana desde hace muchos años.

Él se les acercó y les preguntó:

"Qui êtes-vous ? Qui est votre père ?" "¿Quién eres? ¿Quién es tu padre?"

"N'a qu'une main-N'a qu'une jambe-N'a qu'un oeil-N'a qu'une oreille," répondirent les soeurs. "Tiene que ahora sólo tiene una pierna y un ojo-Tiene un oído", dijo a las hermanas.

"Et qui est votre mère ?" "¿Y quién es tu madre?"

"Ntotoatsana," dirent les soeurs. "Ntotoatsana", dijo a las hermanas.

"Et qui est le père de votre mère ?" "¿Y quién es el padre de tu madre?"

"Ceci nous ne pouvons vous le dire. Nous savons seulement qu'elle fut amenée ici par le vent qui l'emporta lorsqu'elle faisait paître le troupeau de son père." "Esto no podemos decirte. Sabemos que se ha presentado aquí por el viento que prevaleció cuando fue la alimentación del rebaño de su padre."

"Mais elles doivent être les filles de ma soeur !" "Pero deben ser las hijas de mi hermana!" s'écria le frère de Ntotoatsana avec joie. -gritó el hermano Ntotoatsana con alegría. Et il s'assit pour réfléchir à la façon dont il pourrait les libérer toutes les trois. Y se sentó a reflexionar sobre cómo se podría liberar a los tres.

...
"Écoutez ," dit-il au bout d'un moment, "je vais vous couper des roseaux. Cachez-les en rentrant chez vous, sans être vues par personne, sous la fourrure sur laquelle s'assied votre mère. Quand elle s'assiéra, elle les cassera et vous vous mettrez à pleurer et à gémir et à la supplier d'aller au puits vous en rapporter d'autres avant l'heure de dîner. Mais ne dites pas un mot sur nous. Je m'occuperai du reste." "Escucha", dijo después de un momento, "voy a cortar caña. Cierre de vuelta a casa sin ser visto por personas bajo la piel que se sienta en su madre. Cuando 'sentarse, se le rompen y le grito y gemido y el proveedor de ir bien se relaciona con otros antes de la hora de la comida. Pero no dice una palabra acerca de nosotros. Voy a tratar el resto ".

Les soeurs rentrèrent et firent comme leur oncle le leur avait conseillé. Las hermanas fueron e hicieron lo que su tío les había aconsejado. Elles cachèrent les roseaux sous la fourrure de leur mère, et celle-ci les cassa en s'asseyant. Ellos se escondieron en los cañaverales de la piel de su madre y se rompió la sesión. elles se mirent à gémir et à pleurer. empezaron a quejarse y llorar.


"Ne pleurez pas, mes chéries. La première chose que je ferai demain matin ce sera d'envoyer un garçon au puits pour vous chercher d'autres roseaux." "No llores, querida. Lo primero que debo hacer mañana por la mañana será para enviar un niño al pozo a buscar otras cañas".

"Oh ! s'il te plaît Maman, vas-y maintenant toi-même," dirent -elles en pleurant. "Oh por favor, mamá, vamos ahora a ti mismo", dijeron, de llorar. Incapable de le leur refuser Ntotoatsana alla au puits où elle trouva son frère qui l'attendait. No se puede negar Ntotoatsana fue a la pileta donde encontró a su hermano que estaba esperando. Elle le reconnut tout de suite et fondit en larmes... Reconoció de inmediato y se mezclaban las lágrimas ...


"Ne pleure pas," dit son frère."Cette nuit, lorsque tout le village sera endormi, emmène tes filles et nous nous enfuirons à la maison." "No llores", dice su hermano. "Esa noche, cuando todo el pueblo está dormido, tomar tus hijas y enfuirons en casa".

"Je ne puis partir d'ici," dit Ntotoatsana. "No puedo desde aquí", dijo Ntotoatsana. Mon époux a enterré deux cormes magiques de taureau sous le seuil de ma porte et elles se mettront à mugir et à réveiller tout le monde à la minute où j'essaierai de m'enfuir." Mi esposo tiene dos cormo enterrado mágico toro por debajo del umbral de mi puerta y se rugido y despertar a todo el mundo el momento en que intenta huir ".

"C'est facile à arranger," dit son frère. "Es fácil de arreglar", dijo su hermano. "Verse de l'eau bouillante dans les cornes, bouches-les avec du levain de sorgho et recouvre-les de grosses pierres. quand tout le monde sera endormi, prends les enfants et viens ici." "El versículo de la ebullición del agua en los cuernos, con la boca de la levadura de sorgo y se ocupa de ellos con grandes piedras. Cuando todo el mundo está dormido, tener a los niños y vienen aquí".

Ntotoatsana retourna chez elle et fit comme son frère le lui avait conseillé. Ntotoatsana regresado a sus hogares e hicieron lo que su hermano le había aconsejado. Quand tout le monde fut endormi, alors qu'elle partait avec ses filles, les cornes commencèrent à trompeter mais l'eau qui les remplissait fit des bulles et tout ce qu'on put entendre à travers le bouchon de sorgho et les grosses pierres fut un drôle de mugissement. Cuando todo el mundo estaba dormido cuando abandonó con sus hijas, comenzó a los cuernos de trompeta, pero el agua que llena de burbujas y que todo lo que pudimos escuchar a través de la tapa de sorgo y grandes piedras un extraño rugido.

"Pourquoi les chiens pleurent-ils ainsi cette nuit ?" "¿Por qué lloran los perros y que la noche?" se dirent les gens du village en entendant ce bruit étrange, mais ils ne firent que se tourner de l'autre côté et ils se rendormirent. Se dice que los aldeanos escuchado este ruido extraño, pero que a su vez lo hicieron en el otro lado y regresar.

Ce ne fut que le matin, lorsque l'eau se fut infiltrée dans la terre, que le levain eut séché et les pierres eurent roulé au loin, qu'ils entendirent les cornes clamer : No fue sino hasta la mañana cuando el agua se infiltró en la tierra, la levadura que se habían secado y las piedras se rodó lejos, oyeron los cuernos proclamar:

"Hoo, hoo, hoo, hoo ! "Hoo, hoo, hoo, hoo!
Ntotoatsana s'est échapée Ntotoatsana ha échapée
celle que le vent avait amenée, que el viento había traído,
pour habiter parmi nous, a vivir entre nosotros,
un jour qu'elle avait fait paître una vez que se ha rozado
le troupeau de son père." las ovejas de su padre. "

Pero Ntotoatsana en estos momentos, sus hijas, su hermano, sus siervos y negro ya eran ovejas millas.

Néanmoins les Ma-Telebes partirent à leur poursuite. Sin embargo, la Ma-Telebit fue a su demanda. Ils firent d'énormes bonds avec leur unique jambes et il n'était pas encore midiqu'ils commençaient à se rapprocher des fugitifs. Ellos hicieron grandes saltos con sus piernas y el único que todavía no está empezando a traer midiqu'ils los fugitivos. Le frère de Ntotoatsana rit joyeusementen les voyant approcher et il lâcha son bélier noir. El hermano de Ntotoatsana risas joyeusementen enfoque y vio que la caída de carnero negro. Le bélier se drssa sur ses pattes arrière et commença à tourner et tourner en rond en chantant : El carnero es Drssa sobre su patas traseras y comenzó a girar en círculos y cantando:

"Baa, baa, baa, baa ! "Baa, BAA, BAA, BAA!
J'en ai déjà mangé des centaines comme vous He comido cientos como tú
et je vous mangerai aussi !" y comer demasiado! "

Les poursuivants prirent peur en voyant le bélier noir danser et chanter sa terrible chanson et ils s'arrêtèrent, ne sachant plus que faire. Fiscales se asustó cuando vio el carnero negro bailar y cantar su canción terrible y se detuvieron, no sabiendo qué hacer. Lorsqu'ils eurent enfin retrouvé leurs esprits, Ntotoatsana et les autres étaient déjà loin, très loin. Cuando finalmente recuperó sus sentidos, y Ntotoatsana los demás ya estaban lejos, muy lejos.


Les Ma-Telebes se remirent à les poursuivreen faisaint de grands bonds sur leur unique jambe et, peu de temps après midi, ils étaient de nouveau très proches de Ntotoatsana. El Ma-Telebit se entrega a poursuivreen faisaint grandes saltos en su única pierna y, poco después de mediodía, fueron de nuevo muy cerca de Ntotoatsana. Comme la fois précédente son frère rit et lâcha le bélier noir qui se dressa sur ses pattes arrière, tourna et tourna en rond et chanta une chanson encore plus affreuse : Desde la última vez que su hermano se reía y se redujo el negro oveja que está en sus patas traseras, y se convirtió en círculos cantaba una canción y aún más terrible:

"Baa, baa, baa, baa ! "Baa, BAA, BAA, BAA!
J'en ai déjà mangé un millier comme vous He comido como si de un millar de
et je vous mangerai aussi !" y comer demasiado! "

Une fois encore les homme de la tribu s'arrêtèrent et avant qu'ils n'aient retouvé leurs esprits, Ntotoatsana et les autres étaient loin et hors de vue... Una vez más el hombre de la tribu y se detuvo antes de que retouve sus mentes, Ntotoatsana y los demás fueron muy lejos y fuera de la vista ...
Intrepid hombres de mi tribu-Telebit, se reanuda la búsqueda de fugitivos.

Le bélier ne nous effraiera pas cette fois-ci, aussi sauvages que soient ses danses, et aussi horribles que soient ses chansons !" crièrent-ils en sautant sur leur unique jambe avec des bonds si énormes, que vers la tombée de la nuit ils avaient pour ainsi dire rattrapé Ntotoatsana. Cette fois, néanmoins, son frère ne rit pas. Il savait que le bélier ne pourrait pas les sauver et que Ntotoatsana et ses deux filles étaient si fatiguées qu'elles ne tenaient plus debout. El carnero no asustar a nosotros esta vez, de modo que los bailes salvajes, horribles y también que sus canciones! "Exclamó que saltó sobre su pierna con una enorme bonos a fin de que al anochecer se como lo había superado Ntotoatsana. Esta vez, sin embargo, su hermano no se ríen. Sabía que el carnero no pudo salvar y que Ntotoatsana y dos niñas fueron tan cansado que ya no cumplen sus obligaciones.

Sin embargo, el carnero se libera, se eleva sobre sus patas traseras y se convirtió en un círculo cantando:

"Baa, baa, baa, baa ! "Baa, BAA, BAA, BAA!
J'ai déjà mangé une fois tous les hommes de votre tribu ! Ya me he comido una vez que todos los hombres de su tribu!
Et je vous mangerai également !" Y también que comer! "

Il le chanta avec une si forte et terrible voix que la terre en trembla et que le soleil se cacha vite derrière l'horizon. Cantó con esa voz fuerte y terrible que sacudió la tierra y el sol se escondió detrás del horizonte pronto. Soudain tout fut dans l'obscurité complète. De repente todo estaba en tinieblas. Cette les Ma-Telebes eurent vraiment peur et tournant les talons s'enfuirent chez eux aussi vite que leur unique jambe pouvait les porter. Que el Ma-Telebit fueron realmente asustado y huyó a casa de inflexión tacones tan rápido como su única pierna podría soportar.

Ntotoatsana, ses filles et son frère arrivèrent chez eux sains et saufs. Ntotoatsana, sus hijas y su hermano llegó a casa con seguridad. Il y eut de grandes réjouissances car on la croyait morte depuis longtemps. Hubo gran alegría porque hemos creído durante mucho tiempo muerto. Sa mère, dans son chagrin, avait laissé pousser ses cheveux et ils étaient déjà si longs qu'ils arrivaient jusqu'à terre. Su madre, en su dolor, su pelo había crecido y que ya tanto tiempo que llegaron a la tierra. Maintenant que sa Ntotoatsana était de nouveau à la maison, elle prit des ciseaux et les coupa. Ahora que su Ntotoatsana fue en casa, tomó las tijeras y cortar. Alors tous les voisins et parents furent invités à une énorme fête pour célébrer le retour de Ntotoatsanaet des deux ravissantes filles. Por lo tanto, todos los vecinos y familiares fueron invitados a una gran fiesta para celebrar el regreso de Ntotoatsanaet dos preciosas niñas.

Et le conte continue, et continue et continue jusqu'à se noyer dans la mer. Y la historia sigue, y sigue y sigue se ahogan en el mar Final




Que es el más útil? (1) (1)

Había una vez un padre que tenía tres hijos. Ces garçons étaient intelligents et studieux et ils avaient été reçus dans les plus grandes écoles. Estos muchachos fueron inteligentes y estudiosos y se han recibido en las grandes escuelas. L'un devint médecin, l'autre pilote et le troisième téléphoniste. Uno se convirtió en un médico, el otro piloto y el tercer operador.

Un jour, une très belle jeune fille mourut au village où vivait leur père. Un día, una hermosa muchacha murió en el pueblo donde vivía su padre. Les pauvres parents en étaient très affligés et se lamentaient : Los padres eran muy pobres y afligidos lamentó:

"Si quelqu'un pouvait lui rendre la vie, nous la lui donnerions en mariage." "Si alguien puede hacer su vida, que le dan en el matrimonio".
El padre se enteró y de inmediato llamó a su hijo Operador: Escúchame. Une très belle jeune fille vient de mourir ici et celui qui lui rendra la vie l'aura pour femme. Una hermosa chica acaba de morir aquí y será la vida de las mujeres. téléphone à ton frère médecin !" teléfono a su médico hermano! "

Le téléphoniste téléphona au médecin mais celui-ci répliqua : El operador llamó al médico, pero éste respondió:

"Comment y arriverais-je ? C'est trop loin. Téléphone à notre frère le pilote pour qu'il m'y conduise en avion." "¿Cómo voy a ser? Es demasiado lejos. Teléfono a nuestro hermano el piloto me llevan en avión".

Le téléphoniste téléphona au pilote, celui-ci arriva en avion, les trois frères y prirent place et s'envolèrent vers le village... El operador llamó al piloto, que llegaron en avión, los tres hermanos se acercó y se fue volando a la aldea ...
A su llegada, el médico tomó sus instrumentos y medicinas y tratamiento a la niña hasta que se devuelve a la vida.

"J'ai rendu la vie à cette jeune fille, je l'aurai donc pour femme, " dit le médecin. "Me han hecho la vida de esta chica, yo, por lo tanto, para las mujeres", dijo el médico.

"Pero no, yo para la mujer", dijo el piloto. "Si no t'avais trajo aquí, en mi avión, que no podía llevarlo a la vida."

"Mais pas du tout, cette jeune fille sera à moi," dit le téléphoniste. "Pero no en todos, esta es mi niña", dijo el operador. "Tous les deux, vous n'auriez servi à rien si je ne vous avais pas prévenus par téléphone." "Ustedes dos han utilizado para hacer cualquier cosa si no hubiera advertido por teléfono".

"Ne vous disputez pas," dit le père. "No", dijo el padre. "C'est moi qui prendrai cette jeune fille pour épouse. Sans moi, vous n'auriez rien su. Et puisqu'elle sera ma femme, elle sera aussi votre mère et s'occupera également de vous." "Voy a aprovechar esta niña a mujer. Sin mí, no te conozco. Y será mi esposa, ella también será su madre y también cuidar de ti."

"Non," dit la jeune fille. "No," dijo la chica. "J'épouserai le pilote." "Yo casarse con el piloto."

"Et pourquoi précisément le pilote ?" "Y precisamente por ello el piloto?" s'étonnèrent-ils tous, mais personne ne trouva la réponse. todos ellos se sorprendieron, pero nadie encuentra la respuesta.

Mais moi, je l'ai trouvée ! Pero he encontrado! la jeune fille épousa le pilote parce qu'il lui plaisait plus que les autres. la muchacha se casó con el piloto, porque le gustaba más que otros



C'est ainsi, comme je vous le dis Así pues, como digo a usted

C'est ainsi qu'elle épousa le pilote, Por lo tanto, se casó con un piloto,

C'est le conteur qui vous le dit Esta es la historia que usted ha dicho

Kaisi Mwamatandala. Kaisi Mwamatandala.
Fin Final



El astuto zoorro
Le renard et la gazelle se dirigeaient de compagnie vers les bois à la recherche de quelque chose de bon à manger. El zorro y la gacela compañía hacia el bosque en busca de algo bueno para comer.
"Je connais un arbre avec du miel," dit le renard. "Sé un árbol con miel", dijo el zorro.
"Est-ce que l'arbre est à toi ?" "¿El árbol es tuyo?" demanda la gazelle. pidió a la gacela.
"Il appartenait à mon père, mais en mourant il me l'a laissé," répondit le renard. "Pertenecía a mi padre, pero en él me dejó morir", respondió el zorro.
"D'accord alors, allons-y," dit la gazelle. "Bueno entonces, vamos a ir", dijo la gacela.
Ils grimpèrent tous les deux à l'arbre, avec une grosse botte de paille à laquelle ils mirent le feu pour enfumer les abeilles. Ambos subieron al árbol, con un gran manojo de paja en la que prendieron fuego a humo de las abejas. Puis ils mangèrent de tout leur soûl du doux miel. Luego se comió todos los dulces de miel borracho.
Mais, l'arbre n'appartenait pas au renard. Pero el árbol no es el zorro. Il appartenait au puissant lion qui par hasard passa par là pendant que la gazelle et le renard se régalaient. Perteneció a los poderosos león que accidentalmente pasaron por allí, mientras que la gacela y el zorro que tratan a sí mismos.
"Descendez immédiatement" grogna-t-il. "Obtener inmediatamente" gruñó él. "Aquoi pensez-vous donc de manger mon miel !" "Aquoi pensar comer vosotros mi cariño!
El zorro rápidamente le susurró en el oído de una gacela:
"Je vais me cacher dans le reste de cette paille, et tu la jetteras en bas en criant au Lion de se pousser, s'il ne veut pas être brûlé." "Voy a esconder en el resto de la paja, y lanzar gritos en el León de crecer, no será quemado."
La gazelle effrayée, obéit. Gacela asustada, obedeció. Le lion fit un bond de côté, lorsque la botte de paille tomba à terre, mais avant qu'il ne rassemble ses esprits, le renard en avait jailli et il disparut dans les sous-bois. El león había saltado de lado, cuando el haz de paja cayó a tierra, pero antes de que él reúne sus sentidos, el zorro y de ruptura que había desaparecido en el bosque.
"Je vais bientôt m'occuper de toi !" "Voy a tener cuidado antes de usted!" cria le lion au renard. gritó el león zorro.
Lorsque la gazelle descendit de l'arbre le lion la dévora puis partit à la recherche du renard. Cuando la gacela en el árbol el león devorado luego en busca de la zorra. Il erra de nombreux jours avant d'arriver enfin au terrier du renard qu'il trouva vide. Él vagó durante muchos días antes de llegar finalmente a la zorra terrier encontrado vacío.
Entró, decidió esperar y castigarlo cuando.
Le renard ne fut pas long à paraître. El zorro no se hizo inminente. S'arrêtant à une bonne distance de l'entrée, il appela : Detener a una distancia segura de la entrada, hizo un llamamiento:
"Bonjour, ma petite maison. Me voici de retour." "Hola, mi pequeña casa. Aquí estoy de nuevo".
Peu de temps après il appela de nouveau. Poco después llamó de nuevo.
"Bonjour, ma petite maison. Que se passe-t-il ? Chaque fois que je rentre tu me souhaites la bienvenue et maintenant tu ne dis pas un mot. Qu'y at-il ? S'est-il passé quelque chose ?" "Hola, mi casa. ¿Qué pasa? Cada vez que entran le deseo la bienvenida y ahora usted no dice una palabra. ¿Qué? ¿Ha ocurrido algo? "
Le lion tomba dans le piège et cria : El león cayó en la trampa y gritó:
"Bonjour ! Bonjour !" "Hola Hola!"
Le renard dit en riant très fort : El zorro dice, riendo muy duro:
"Quel lion stupide tu es ! qui donc a déjà entendu parler une maison ! Maintenant je sais que tu es là et tu ne m'attraperas pas." "¿Qué estúpido eres león! Así ha oído hablar de una casa! Ahora sé que estás aquí y no me captura."
Le lion sortit d'un bond mais le renard était trop rapide pour lui et il était déjà loin. El león saltó de la zorra, pero era demasiado rápido para él y él ya estaba lejos.
Le renard courut, courut et courut jusqu'à ce sa gorge fut desséchée par la soif... El zorro corrió, corrió y corrió hasta su garganta estaba seca, con sed ...
...
Le renard courut, courut et courut jusqu'à ce que sa gorge fût desséchée par la soif. El zorro corrió, corrió y corrió hasta su garganta se seca con sed. Arrivant à un puits avec deux seaux accrochés à une corde, il grimpa dans l'un d'eux sans réfléchir et se laissa descendre au fond où il but son content. Llegar a un pozo con dos cubos colgando de una cuerda, se subió a uno de ellos sin dejar de pensar y al final el que se encuentra, pero su contenido. Mais ensuite ? Pero entonces, ¿qué? Comment allait-il remonter ? ¿Cómo fue que de nuevo?
Entre-temps une hyène était arrivée au puits et se tenait là, observant le renard. En el ínterin había llegado una hiena del bien y allí, viendo el zorro.
"Que fais-tu là, frère Renard ?" "¿Qué haces, hermano zorro?" demanda-t-elle. preguntó ella.
"Je viens juste de manger un gros morceau de beurre. Il y en a encore mais je suis repu et ne puis en manger une bouchée de plus. Pourquoi ne le finis-tu pas ?" "Acabo de comer un trozo de mantequilla. Todavía hay, pero estoy satisfecho y no puede comer un bocado más. ¿Por qué no has terminado?"
L'Hyène regarda dans le puits et vit quelque chose de rond et de jaune flotter dans l'eau. La hiena aguarda en el bien y vio algo redondo y amarillo flotan en el agua. C'était le reflet de la lune qui brillait dans le ciel. Es un reflejo de la luna brillando en el cielo.
"Mais comment descendrais-je ?" "Pero ¿cómo puedo bajar?" demanda l'hyène. pidió a la hiena.

"Escalar en el cubo que se encuentra al borde de la fosa", respondió el zorro.
L'hyène lui obéit et comme elle descendait au fonds du puits, le seau où était le renard remonta à la surface. La hiena y le obedece, ya que descendió hasta el fondo del pozo, el cubo, donde el zorro se señaló a la superficie.
Le renard en sauta, abandonnant l'hyène au fond. Saltó en el zorro, dejando a la hiena en el fondo.
C'était à son tour maintenant de se tracasser pour en sortir. Es su turno ahora a la molestia de salir.
...
Quelque temps après, le renard se réconcilia avec le lion et l'hyène et ils partirent chasser tous les trois ensemble. Algún tiempo después, el zorro se concilia con el león y la hiena y la caza a los tres juntos.

Très vite, ils attrapèrent un mouton. Rápidamente, que agarró una oveja.

"Partage notre prise," dit le lion à l'hyène. "Compartir nuestro premio", dijo el león hiena
"Aprovecho la espalda, el león tiene la mitad y hacia adelante la zorra tiene las agallas y las piernas", dijo la hiena.

Le lion fut saisi de rage en entendant ceci et donna à l'hyène un coup retentissant qui lui fit un oeil au beurre noir. El león se incautó de rabia y escucha esto y dio la hiena repente en voz alta que le dio un ojo negro. Puis, se tournant vers le renard il lui dit : "Maintenant toi, tu divises notre butin." Luego, refiriéndose a la zorra le dijo: "Ahora usted, dividir el botín."

"L'hyène et moi-même aurons la tête, les jambes et les entrailles et le reste est à toi," dit le renard. "La hiena y tendré la cabeza, las piernas y las entrañas y el resto es tuyo", dijo el zorro.

"Bien," dit le lion en souriant. "Bueno", dijo el león con una sonrisa. " dis-moi maintenant qui t'a appris à partager si bien et si sagement ?" "Ahora me dicen que usted aprendió a compartir tan bien y tan sabiamente?"

"L'oeil de l'hyène," fut la réponse du renard. "El ojo de la hiena", fue la respuesta de la zorra. Final

contes

HISTOIRE DU RICHE N’KOUL www.jardinsdisis.org/-CONTES-AFRICAINS

HISTOIRE DU RICHE N’KOUL
Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un village africain vivait un homme appelé N’koul, cette à dire le tam-tam. N’koul vivait avec ses enfants et ses quatre épouses. Il possédait les plus belles terres de la contrée.
Sur les terres de N’koul se trouvaient d’immenses champs de cacao. Personne dans le village, ni dans les villages avoisinants ne possédait des champs aussi fertiles ni aussi vastes. N’koul avait bien fait fructifier ses immenses champs de cacao, il pensait donc avoir bien réussi sa vie. Les gens de son village, ainsi que ceux des villages voisins, admiratifs du patrimoine de N’Koul, le sollicitèrent afin que chacun a leur tour ils puissent exploiter une petite partie de ses terres, juste pour une courte période qui leur permette de relancer leurs propres exploitations de cacao. N’Koul leur répondit « Non » à tous, à ceux de son village comme à ceux des villages voisins.
Mais être l’homme le plus riche du village ne suffisait pas à N’Koul. Un beau jour, le vieil homme décida de partir à la recherche de l’or dans un pays lointain d’Afrique pour amasser encore plus de richesses, pour accroître encore plus sa fortune. Au terme d’un voyage de plusieurs mois, N’Koul arriva au pays de l’or. Les mines alentour rapportaient des fortunes à ceux qui les exploitaient. N’Koul se mit immédiatement au travail. Il creusa et il ne trouva rien. Autour de lui, il voyait qu’il suffisait d’une simple pelletée pour voir briller les paillettes. Mais N’Koul ne trouvait rien que de la terre et des cailloux sans valeur. Il creusa longtemps, il creusa profond, il creusa jusqu’à l’épuisement, mais l’or toujours lui échappait. L’or semblait fuir devant sa pelle. N’Koul en eut assez et il mendia de l’or. Ses camarades ne lui donnèrent rien. N’Koul soupira : « Jamais de ma vie je n’ai vu une telle avarice ». À peine avait-il fini sa phrase, que l’un des mineurs, originaire de son village, lui répondit : « Toi N’Koul, tu oses te plaindre de l’avarice de ces hommes, alors que toute ta vie, tu n’as fait que prouver que tu étais toi même l’incarnation de l’avarice ! ». Saisi par la honte, N’Koul retourna dans son village, et, avec l’accord de ses héritiers, décida de partager avec les gens du pays l’exploitation de ses immenses terres.
Louise ATANGANA
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> LES TROIS FILS DU PERE GORILLE
LES TROIS FILS DU PERE GORILLE
Dans un village Beti de la tribu Bantoue se trouvait un grand et puissant chef. Son nom Wa’a, signifiait « Gorille ». Wa’a avait en sa possession une défense d’éléphant qui lui conférait une puissance magique. Cette défense magique lui permettait de commander au soleil et à la pluie. Elle pouvait même faire gronder le tonnerre lorsque cela était nécessaire.
Un jour Wa’a tomba malade. Son état empira à tel point qu’il se sentit proche de sa fin. Il fit venir ses trois fils à son chevet. Son but était de déléguer son pouvoir au plus courageux de ses enfants.
Mes fils, ouvrez grand vos oreilles. Le moment est venu pour moi de désigner mon successeur. Vous allez, chacun à votre tour, me raconter quel fut l’événement de votre vie qui vous a demandé le plus grand courage.
Le premier fils pris la parole.
Père Wa’a, te souviens-tu de ces jours où notre royaume fut la proie des envahisseurs. Je les ai combattu avec mes mains pour seuls armes et je les fis reculer !
Le deuxième fils pris à son tour la parole.
Père Wa’a, te souviens-tu de ce jour où les lions affamés attaquèrent notre village ? Avec mes mains et mes pieds, je livrais un combat à mort contre ces lions féroces.
Ce fut enfin au tour du troisième fils de prendre la parole.
Je me souviens de tout cela, Père Wa’a, de ce temps où notre royaume fut la proie des envahisseurs, et de ce jour où les lions affamés attaquèrent notre village. Je savais que ma seule force ne pouvait suffire à protéger notre peuple. J’ai rassemblé nos braves et nombreux guerriers, et en combattant ensemble nous parvîmes à repousser le danger loin de notre peuple.
Le vieux père Wa’a avait écouté les récits de ses trois fils avec la plus grande attention. Il donna à ses enfants la conclusion de sa très sage réflexion.
Le plus courageux de vous trois est celui qui sera le plus digne de me succéder. C’est toi mon troisième fils que je désigne pour cette tâche. C’est à toi que je confie la défense de l’éléphant qui te permettra de bien guider notre peuple, dès que la mort m’aura emmené de l’autre côté à la rencontre de nos ancêtres. Ta sincérité est la preuve du plus grand courage.
Les deux frères embrassèrent leur cadet en signe de respect envers celui qui venait d’être désigné comme leur nouveau chef. Ils venaient d’apprendre qu’en ce monde, dire la vérité dans certaines circonstances peut-être l’acte le plus courageux qu’un homme puisse accomplir.
Louise ATANGANA



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Contes africains... - Le blog de Joséphine

sábado, 21 de marzo de 2009

lunes, 16 de marzo de 2009

Cuentos - Sabrina Martín y Pedro Parcet - 21 de marzo 2009

En el Dorinda. Guatemala 4487 Palermo viejo 21 de marzo 21 hs.

jueves, 12 de marzo de 2009